<div dir="ltr">Bonjour à la communauté,<br><br>Ce mot pour vous remercier, particulièrement Jean-Christophe pour vos instructions attentionnées et si didactiques! <span style="color:rgb(68,68,68)">Ces instructions sont plus claires, et aussi fastes que celles des pages de la documentation Ubuntu. J'espère que d'autres en profitent en lisant le fil.</span><br>
<br>J'étais aussi ébahi qu'éclairé de constater votre souci d'instruire sur l'architecture du système de fichiers. Ou encore de perfectionner, Simon, les recommandations de tes collègues. Merci beaucoup! J'apprécie vos conseils sans équivoque : «je recommanderais de la formater en (V)FAT, même si... » et votre habileté à exprimer la réalité logique de mes allusions à la présentation graphique du système. <br>
<br>Après trois lectures, j'ai une bonne vue (d'ensemble, pénétrante) de la gestion des droits et des dispositions à prévoir pour pouvoir utiliser un média, ou maîtriser ses fichiers par la reconnaissance de ses permissions. L'assignation des UID et les la performance des systèmes de fichiers sont bien à prendre en compte.<br>
<br>Vos indications sur l'inscription des droits au système de fichier sont si claires qu'elles me laissent sans question. Je pourrai en avoir éventuellement sur la commande «chown:» si vous aviez le temps, et moi d'expérimenter. <br>
<br>Je voulais vous remercier car vos réponses attentives sont aussi belles qu'aidantes.<br><br>Merci!<br><br><span style="color:rgb(102,102,102)">Louis</span><br><br><br><div class="gmail_extra"><br><br><div class="gmail_quote">
Le 24 mars 2014 13:13, Jean Christophe André <span dir="ltr"><<a href="mailto:jean-christophe.andre@auf.org" target="_blank">jean-christophe.andre@auf.org</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div text="#000000" bgcolor="#FFFFFF">
<div dir="ltr"> Bonjour,<br>
<br>
Le 2014-03-24 11:37, Louis Bourque a écrit :<br>
<div class="gmail_extra">
<div class="gmail_quote"><div class="">
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
J'ai alors démonté le volume avec l'utilitaire de disque
et rappliqué avec la même commande : aucune permission. Le
volume avait alors disparu du dossier media, et
s'affichait pâli au bandeau raccourci de Thunar.<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Oui. Ceci vient du fait que les sous dossiers de /media/ sont
créés/détruits dynamiquement, à la (dé)connexion des
périphériques, vu qu'ils ne servent qu'à établir des liens
temporaires avec eux.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
Dans l'abre du système de fichier, j'ai ensuite
double-cliqué sur media et alors le volume réapparu dans
l'arbre, avec son contenu (ici lost+found) affiché dans le
dialogue principal de Thunar (est-ce dire que j'ai à
nouveau monté le volume).<span style="color:rgb(68,68,68)"><br>
</span></div>
</blockquote>
<br></div>
Oui.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">Incidemment, la fenêtre Propriété du volume
montre que le propriétaire a bien changé, passant de «root
(root)» à «hirondelle (hirondelle)» par cette commande.
Pour le reste à cette fenêtre, les permissions et leur
cible sont inchangées, mais les menus déroulants qui les
montrent sont actifs cette fois (image en PJ).<span style="color:rgb(68,68,68)"><br>
</span></div>
</blockquote>
<br></div>
C'était bien le but ici : te donner la propriété du dossier
pour que tu aies ensuite le droit, en tant que propriétaire,
d'en gérer les accès.<br>
<br>
Dans un système de gestion de droits classique Unix (et donc
aussi sous Linux), seul le propriétaire a le droit de gérer
les droits sur un fichier/dossier.<br>
(il existe des extensions de sécurité qui permettent de
déléguer ce droit, mais souvent ça ne fait qu'ajouter une
complexité inutile dans la gestion des droits)<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr"><span style="color:rgb(68,68,68)">
</span>On dirait donc que votre conseil était judicieux!
Et que le problème s'agissait de l'attribution de
l'«owner» à changer, plutôt que de définir les permissions
conférérées à l'«owner».<span style="color:rgb(68,68,68)"><br>
</span></div>
</blockquote>
<br></div>
Les deux restaient possibles, le choix dépendant de l'objectif
à atteindre. Ici le plus simple était de récupérer la
propriété du dossier.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">Juste pour comprendre la grammaire, dois-je
comprendre que «hirondelle» est le «user» propriétaire et
que celui-ci agit en root, en invoquant «sudo»? Donc que
le «user» en question est en fait l'«administrateur» en
fait de permissions, s'il est propriétaire?<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
C'est bien cela.<br>
<br>
Pour des raisons de sécurité, un utilisateur ne peut
réattribuer la propriété d'un fichier/dossier à un autre. Seul
le super-utilisateur "root" a ce droit.<br>
<br>
Avant la modification, le dossier appartenait à l'utilisateur
"root" et lui seul pouvait y écrire. Donc l'utilisateur
"hirondelle" n'avait pas le droit d'y écrire.<br>
<br>
Pour que l'utilisateur "hirondelle" puisse y écrire, il
fallait soit que "root" lui en donne le droit soit que "root"
donne la propriété du dossier à "hirondelle".<br>
<br>
<div dir="ltr">La commande "chown" sert à changer le
propriétaire (change owner) d'un fichier/dossier.<br>
<br>
Vu qu'un simple utilisateur ne peut pas l'utiliser, on
préfixe cette commande avec "sudo" pour demander au système
de l'exécuter avec les droits du super-utilisateur. Ce qui
permet effectivement d'utiliser la commande sans recevoir un
message d'erreur de droits insuffisants.<br>
<br>
</div><div class="">
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
De façon plus étendue je vous remercie tant! Vous n'avez
pas idée à quel point cela me rend service. Ce projet
d'achat d'un disque, initié en décembre, vise à me
permettre d'archiver mes données et de réinitialiser mon
système : celui-ci montre un temps d'accès croissant au
contenu des répertoires et quelques crash au démarrage.
Mon disque interne vieillit et ma passion pour la
photographie, qui me relie en intégrité à l'extérieur, ou
à Vie occupe le disque. J'étais tellement satisfait en
commençant l'archivage!<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Si ces fichiers sont si importants, il faudrait penser à en
faire plus d'une copie.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
Je crois que vous répondez précisément à ma question
initiale exprimée au premier mail de cette chaîne. Merci!
En effet, vous m'indiquez que :<br>
<br>
«avec les systèmes de fichiers évolués comme ext4 (ou
ext3/ext2/ext) ou encore NTFS, les droits sont stockés
dans le système de fichier lui-même.<br>
<br>
Donc les droits ne sont pas automatiquement accordés à
l'utilisateur dont la session est active au moment du
branchement du disque, comme c'est le cas quand le disque
est formaté en (V)FAT.<br>
<br>
Les droits seront ceux trouvés dans le système de fichier
et ne changeront pas en fonction de la session active».<br>
<span style="color:rgb(68,68,68)"><br>
</span>De cela je comprends que le «système de fichier»
s'étend au périphérique et frappe chaque élément contenu
dans cet arbre. Ces éléments se voient marqués de droits
et de leur propriétaire atitré. Ce qui m'explique aussi
qu'une clé USB (typiquement FAT32) est disponible en
écriture et lecture à tout utilisateur dès son
branchement. Est-ce juste?<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Globalement oui, mais je précise un peu pour clarifier les
notions.<br>
<br>
Ce qu'on appelle un « système de fichiers » est une technique
d'organisation des fichiers dans un espace donné. Cette
technique va préciser comment stocker le contenu des fichiers
et les informations qui les concernent (les méta-données :
nom, taille, date de création/modification/accès, propriété,
droits d'accès, etc). Quant au dossiers, ce sont tout
simplement des fichiers eux aussi, mais dont le contenu est
particulier : une liste de fichiers. (c'est donc une notion
récursive)<br>
<br>
La façon dont tu utilises « système de fichier » dans ta
phrase ici désigne plutôt l'association automatique d'un
propriétaire et de droits par défaut aux systèmes de fichiers
qui n'ont pas de telles notions, comme (V)FAT.<br>
<br>
Les systèmes de fichiers basés sur (V)FAT ne stockent pas
d'informations de propriétaire ou de droit d'accès. En
revanche les systèmes Unix (et donc Linux) ont obligatoirement
besoin d'associer ces notions aux fichiers avant de pouvoir
les utiliser. Autrefois il fallait effectuer cette association
de façon manuelle, avec une commande dans un terminal. Mais
avec des systèmes modernes comme Ubuntu (et bien sûr Debian),
le système va automatiquement associer par défaut tout le
contenu du système de fichier (V)FAT à l'utilisateur « actif »
(= celui dont la session est active au moment du branchement).<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">Dois-je donc comprendre que la seule façon
d'employer un disque dur sur des ordinateurs publics
(sessions sans droits d'administrateur) est d'y créer une
partition de format FAT?<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Pour des questions de facilité, c'est malheureusement le cas,
oui.<br>
<br>
Si une clé USB devait être utilisable « partout », je
recommanderais de la formater en (V)FAT, même si ce système de
fichier n'est pas le plus sécurisé (surtout en cas de
corruption des données) ni le plus performant.<br>
<br>
Par contre pour un disque qui n'est utilisé que chez soi, on
peut faire un choix plus efficace.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
Donc que ma prémisse de départ suivante, que vous
corrigez, était erronnée : «J'ai présumé que je n'ai pas à
définir le nom de l'utilisateur du disque par la commande
«chown». En fait je n'en sais rien; je présume qu'un
disque externe vide ne contient aucune information
d'assignation à un propriétaire, et que je peux me
rapporter «anonymement» aux trois niveaux-propriétaires
abstraits : u, g, a».<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Un disque vraiment vide n'est pas utilisable tel quel par le
système. Pour qu'un disque soit utilisable, il faut avant tout
le formater, c'est à dire choisir un système de fichiers et le
mettre en place sur le disque. C'est ce choix qui détermine la
façon de gérer le contenu du disque par la suite.<div class=""><br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">
Enfin, j'essaie de mieux comprendre ce que Jean-Christophe
indique ici: <br>
<br>
«Le hic est que si on change de machine, et que l'autre
machine n'a pas le même utilisateur hirondelle (en
particulier avec le même UID dans la base des
utilisateurs), les droits pourront différer. Par exemple
l'hirondelle sur un autre poste ne pourra pas accéder, ou
bien un autre compte ayant le même UID que l'hirondelle du
premier poste aura des accès qu'il ne devrait pas avoir».
<br>
<br>
Je pensais que le UID étiquetait les composantes
matérielles telles les disques, et non les comptes
(logiciels). Dois-je aussi comprendre que les lettres du
mot «hirondelle» ne suffisent pas à former ou répliquer le
nom d'un compte propriétaire, de façon à jouir à nouveau
des droits inscrits sur le disque depuis une nouvelle
machine? Ou après la réinitialisation du système sur la
même machine?<br>
</div>
</blockquote>
<br></div>
Pour comprendre cette notion il faut aller un peu plus en
profondeur dans le fonctionnement d'un système d'exploitation,
ou d'un ordinateur en général. Sans aller trop loin les
détails, il faut garder à l'esprit que les ordinateurs ne sont
efficaces qu'avec les nombres.<br>
<br>
Dans le système, le nom "hirondelle" prend beaucoup plus de
mémoire (minimum 11 octets) qu'un simplement numéro
d'utilisateur (généralement 2 ou 4 octets). Il est aussi
beaucoup plus long, pour un ordinateur, de comparer deux noms
plutôt que de comparer deux nombres.<br>
<br>
Aussi, à son niveau, pour rester le plus efficace possible, le
système gère tout avec des nombres. Le système ne sait
(presque) rien du nom "hirondelle", il ne connaît que
l'utilisateur numéro 1000 (ou autre). À notre niveau, humain,
il serait difficile de ne travailler qu'avec des nombres. Donc
pour nous faciliter la vie, le système gère des tables de
correspondance pour nous afficher des noms plutôt que des
nombres quand cela est utile/nécessaire.<br>
<br>
Un exemple très classique d'une telle table est le fichier
"/etc/passwd".<br>
<br>
Ensuite la plupart des commandes du système vont consulter ces
tables pour interpréter nos demandes et pour nous afficher le
résultat.<br>
<br>
Par exemple, quand on fait un "chown hirondelle fichier", la
commande "chown" va chercher dans "/etc/passwd" quelle est le
numéro correspondant à "hirondelle", puis demander au système
d'attribuer ce numéro comme propriétaire du fichier indiqué.
C'est la raison pour laquelle on peut également utiliser une
commande telle que "chown 1000 fichier" (avec le numéro
directement).<br>
<br>
Autre exemple, quand on fait un "ls -l fichier", la commande
"ls" va chercher les informations concernant le fichier, dont
le numéro de l'utilisateur propriétaire, puis va chercher dans
"/etc/passwd" le nom correspondant pour pouvoir nous
l'afficher. Là aussi, on peut demander à la commande de ne pas
faire la conversion et de nous montrer les nombres gérés par
le système : "ls -l -n fichier".<br>
<br>
Pour en revenir maintenant au « hic »…<br>
<br>
Ce qu'on appelle l'UID est justement le numéro d'utilisateur
dans le système (User ID, visible dans "/etc/passwd", ou avec
la commande "id"). C'est ce numéro qui sera utilisé dans le
système de fichier quand on change le propriétaire d'un
fichier/dossier.<br>
<br>
Sous Ubuntu, le premier numéro d'utilisateur de base (mis à
part les utilisateurs spécifiques au système) est 1000. Donc
si on installe Ubuntu sur une machine et qu'on crée
l'utilisateur "hirondelle" au moment de l'installation, il
aura le numéro 1000. Si on installe Ubuntu sur une autre
machine et qu'on crée l'utilisateur "moineau", il aura aussi
le numéro 1000. Et si on ajouter un utilisateur "hirondelle"
sur cette seconde machine, il aura le numéro 1001.<br>
<br>
À supposer maintenant qu'on connecte le disque sur la seconde
machine, on y verra que tous les fichiers appartiennent à
"moineau" et non à "hirondelle". Ceci parce que, au niveau
disque c'est l'utilisateur 1000 qui est propriétaire et au
niveau système l'utilisateur 1000 est "moineau". Donc, sur
cette machine, l'utilisateur "moineau" pourra faire tout ce
qu'il veut avec les fichiers, tandis que l'utilisateur
"hirondelle" n'aura probablement que très peu de droits
dessus.<div class=""><br>
<br>
<div dir="ltr"><br>
</div>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">
<div dir="ltr">Pour contourner ce «hic», l'invocation de la
commande chown sur la nouvelle machine suffirait-elle?<br>
</div>
</blockquote>
</div></div>
</div>
</div>
<br>
Oui, absolument.<br>
<br>
En revanche, le "chown" ne touche qu'un seul fichier/dossier par
défaut. Pour que les droits soient bien redonnés à tous les
fichiers/dossiers, il faudra utiliser son option de récursivité.<br>
<br>
Par exemple :<br>
<br>
sudo chown -R hirondelle: /media/Louis_Archiv_Ext<br>
<br>
<b>Une mise en garde ici</b> : attention à bien préciser le bon nom
de dossier avec cette commande. L'option de récursivité la rendant
dangereuse. En effet, si par malheur on faisait la commande suivante
"sudo chown -R hirondelle /" (donc changement sur tout le système)
le système deviendrait totalement inutilisable et il n'y aurait pas
de retour en arrière simple possible !! (sauf à avoir une sauvegarde
complète du système) Aucun fichier ne serait vraiment perdu, mais
cela pourrait en donner l'impression, du fait que le système ne
fonctionne plus correctement.<div class=""><br>
<br>
J.C.<br>
<pre cols="72">--
Jean Christophe ANDRÉ — Coordonnateur des infrastructures techniques
Agence universitaire de la Francophonie (AUF) — <a href="http://www.auf.org/" target="_blank">http://www.auf.org/</a>
✉ : AUF, Case postale du Musée, C.P. 49714, Montréal, (Québec) H3T 2A5
℡ : <a href="tel:%2B1%20514%20343%206630%20%231568" value="+15143436630" target="_blank">+1 514 343 6630 #1568</a> ✦ ℻ : <a href="tel:%2B1%20514%20343%202107" value="+15143432107" target="_blank">+1 514 343 2107</a>
⎧Note personnelle: merci d'éviter de m'envoyer des fichiers Microsoft⎫
⎩Office, cf <a href="http://www.gnu.org/philosophy/no-word-attachments" target="_blank">http://www.gnu.org/philosophy/no-word-attachments</a> ⎭
</pre>
</div></div>
<br>--<br>
Ubuntu-quebec mailing list<br>
<a href="mailto:Ubuntu-quebec@lists.ubuntu.com">Ubuntu-quebec@lists.ubuntu.com</a><br>
<a href="https://lists.ubuntu.com/mailman/listinfo/ubuntu-quebec" target="_blank">https://lists.ubuntu.com/mailman/listinfo/ubuntu-quebec</a><br>
<br></blockquote></div><br></div></div>